vendredi 24 septembre 2010

100 kms de Millau : H - 12

Bon ben cette fois ci, j'y suis. L'ampleur du challenge a du mal à
rentrer je crois. Mon côté optimiste je pense qui me fait voir que
tout ira bien. Je vais me lever vers 7h histoire de déjeuner
tranquillement mon gateau de course puis habillage et préparation/mise
en place du sac à dos et du sac pour Saint-Afrique.
Ensuite je me mettrais au repos pour rejoindre tranquillement la ligne
de départ vers 9h 9h15.
L'euphorie de la participation va sûrement me gagner à ce moment là
mais je vais tâcher de ne pas déroger au 135 puls pendant au moins
10km histoire de voir ce que cela donne comme rythme. Si je boucle les
10k en 80min, cela me place en 800min soit moins de mes 15h prévues...
Pas trop d'emportement je dois finir c'est cela qui compte, le temps
n'est pas une donnée à prendre en compte sur ce coup.
Sauf que un gros doute m'assaille tel le guerrier du même nom : où se
trouvé la lampe frontale ?

mardi 21 septembre 2010

Ver en la conciencia la memoria

Inquieta
Te das prisa
Mi respuesta
¡ Reconozca !
Y aquieta
lo que sea

Ver en los sentidos la conciencia

Hola chica

¿ Quien eres ?

que construyes

y me mientes

que pones

y destruyes

que me ofrece placeres

y en sufirmiento te complaces

Deja nuevas halucinaciones

y enlentece el miedo que tienes

par juntarnos en otros planes

 

jeudi 9 septembre 2010

Divine surprise ou la récompense de l'explorateur

En ce midi où j'étais encore à me morfondre de manger seul dans mon habit à juste à peine retoucher de consultant expert, je devisais agréablement au téléphone avec une charmante amie tout en cherchant du coin de l'oeil un lieu accueillant pour rassasier mes ardeurs végétatives quand le mot pizzeria suffit à satisfaire ma quête.
 
Optant pour une voie médiane entre le rustre qui commande l'oreille et la bouche collées à son communicator de haute technologie et l'affable gentilhomme tout sourire, je parviens à demander une table pour une personne -qui finira par un tabouret au bar- tout en continuant des descriptions disciplinaires érudites.
 
Après avoir commandé une bavette échalote sur la carte et finalisé un agenda avec cette nouvelle compagne des premiers pas, je commence à interagir plus intentionnellement avec mon entourage d'un bon appétit par ci à une exclamation par là devant le nouveau titre mondial de notre nouvelle référence nationale française quand soudain...
 
Le temps s'arrète... mes yeux s'écarquillent... mon estomac pousse un petit cri... mes papilles s'affolent... mon voisin de table sourit avec la tendresse amusée du connaisseur devant la bleusaille...
 
L'épaisse planche à découper qui décore les bras du garçon m'offre la vision paradisiaque d'une viande énorme dont la couleur et les saveurs se propagent dans tous mes sens, les champignons qui l'accompagnent sont délicieusement parfumés, les haricots d'un joli vert printanier, le gratin dauphinois a des arrière-goûts grand maternel et la salade d'accompagnement repose dans un admirable feuilleté en forme de coupole.
 
La décende m'impose de ne pas mettre par écrit les détails de cette délicieuse aventure sensorielle...
 
J'ai bien mérité les petits quolibets gentillets de petit joueur en n'étant pas capable de rendre un hommage complet à cette merveille culinaire mais mes profonds remerciements répétés devant tant d'amoureuses délices m'assurent un bon accueil prochain.
 
Chapeau bas au restaurant Marco Polo devant la gare Saint-Lazare à Paris.

mercredi 8 septembre 2010

Muere lentamente (Pablo Neruda)

Muere lentamente quien se transforma en esclavo del hábito, repitiendo todos los días los mismos trayectos, quien no cambia de marca, no arriesga vestir un color nuevo y no le
habla a quien no conoce.
Muere lentamente quien hace de la Television su guia.
Muere lentamente quien evita una pasión, quien prefiere el negro sobre blanco y los puntos sobre las "íes" a un remolino de emociones, justamente las que rescatan el brillo de los ojos, sonrisas de los bostezos, corazones a los tropiezos y sentimientos.

Muere lentamente quien no voltea la mesa cuando está infeliz en el trabajo, quien no arriesga lo cierto por lo incierto para ir detrás de un sueño, quien no se permite por lo menos una vez en la vida, huir de los consejos sensatos.
Muere lentamente quien no viaja, quien no lee, quien no oye música, quien no encuentra gracia en sí mismo.
Muere lentamente quien destruye su amor propio, quien no se deja ayudar.
Muere lentamente, quien pasa los días quejándose de su mala suerte o de la lluvia incesante.
Muere lentamente, quien abandona un proyecto antes de iniciarlo, no preguntando de un asunto que desconoce o no respondiendo cuando le indagan sobre algo que sabe.

Evitemos la muerte en suaves cuotas, recordando siempre que estar vivo exige un esfuerzo mucho mayor que el simple hecho de respirar.
Solamente la ardiente paciencia hará que conquistemos una espléndida felicidad.

(Un grand merci à Kiki pour m'avoir remis en mémoire ce merveilleux poème de Pablo Neruda)

lundi 6 septembre 2010

Ver en todo los sentidos

Lineas paralelas
Entre mundo y ojo interno

Oido descubierto
En su punto inpreciso

Tacto raro
Difundido en el cuerpo

Oler con saber
Donde pelitos poner

Y asi con todos
Aun sin precisos
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